8 Replies to “Le Second Manifeste Convivialiste”

  1. Bravo pour cet ouvrage qui dresse enfin un socle idéologique qui fait sens pour rassembler 7 milliards de co-habitants. Je vais travailler pour que les organisations dans lesquelles je m’investis puissent se réclamer de ce mouvement.

  2. Bonjour
    Ce syndrome d’hubris … un fléau, un Con De Virus qui atteint toute personne « trop longtemps » au pouvoir, quelque soit l’entité d’exercice de ce pouvoir …
    Comment s’en prémunir ?
    Fraternellement
    Michel INTRAND

  3. Venant de lire votre « Second manifeste convivialiste », je suis ébloui par votre développement de la notion de « convivialité » restée très générale chez Ivan ILLICH.
    Convaincu de l’intérêt d’avoir un horizon à long terme, non figé, pour orienter les actions immédiates qui se veulent radicales et faire en sorte que les découvertes qui naissent dans l’action collective servent l’avenir, j’avais entrepris une description de vers quoi tendre dans le petit texte « Prenons en mains l’avenir de monde ».
    C’est sans doute mon expérience managériale qui m’a orienté en priorité vers uns description de la structure mondiale politico-économique. Depuis, j’avais gardé l’ambition de compléter le texte par la dimension éthique et spirituelle.
    Vous l’avez fait magnifiquement dans votre texte. Je serais très heureux de coopérer à votre travail.
    Je vous joins mon petit texte et espère avoir le bonheur de travailler avec vous.

    1. Autant la notion de convialité est essentielle, autant sont à craindre d’y associer des formulations en « ismes » et « istes  » qui en stigmatisent le risque de dérives idéologiques et dogmatiques dont ont péri les autres imouvements à vocation de solidarité sociétale …

  4. Bonjour,
    je viens d’acheter 6 exemplaires du second manifeste, cela assurera une première diffusion au cercle proche.
    j’ose un commentaire à la suite de ma lecture du manifeste. vous utilisez régulièrement le terme « hubris » dans le sens péjoratif que lui prêtait les grecs, cette illimitation mère de tous les vices « la folie des grandeurs ». J’adhère totalement à ces définitions et essentiellement au travail de Castoriadis sur le sujet. Du coup lorsque, page 67, je lis une possible « hubris démocratique » je suis dubitatif. Autant lutter contre ce désordre, y compris à l’aide de ce terme, me parait juste; autant l’associer dans le même ouvrage à la démocratie me parait hasardeux. cet effet de proximité me parait très préjudiciable à la démocratie elle même, son essence.
    J’aurais pour ma part préféré parler de « tautologie démocratique ». Il faut qu’elle répète et ressasse en permanence qu’elle est démocratique sans jamais vraiment y parvenir puisque c’est une forme mobile dont le mouvement ne s’épuise pas sauf, faute de combattant. Elle ne crée pas un désordre irrémédiable en travaillant à sa propre venue, mais c’est plutôt en s’imaginant être arrivée à sa forme définitive que des désordres peuvent surgir. Ce travail n’est pas de tout repos, en effet et pour cela, il faut des citoyens [ Pour être citoyen il faut savoir gouverner et il faut savoir être gouverné ]
    la fragilité constitutive de cette forme du vivre ensemble n’inclut ni n’implique une hubris mais une forme ouverte , incomplète à jamais.

    Bien cordialement
    et surtout convivialement
    Pierre Lade

    1. It seems to me that the reference alluded to (the current trend towards what might be called “democratic hubris.”) is further elaborated two paragraphs later in this same section (Finally, in the current democratic dynamics, unless tempered by a concern for the common good, the general aspiration for equal conditions is conducive to the risk of hubris…etc.) whereas your own comment refers to the other weakness factor mentioned (democracy’s fragile constitution, its relative indeterminacy) …but I quite agree with you that this fragility of democracy doesn’t imply any hubris but a constitutive feature of democracy –its openness, incompleteness, indeterminacy. (Please forgive my switch to English for this comment. Convivially yours, Hernando Calla)

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