Convivialisme et traditions de pensée asiatiques (gongsheng/kyosai)

Face aux luttes mondiales pour la reconnaissance

Il y a trois ans j’ai été mis en contact avec madame Song Bing qui dirige à l’université de Pékin l’antenne de l’Institut Berggruen, créé et présidé par le milliardaire et philanthrope germano-américain (élevé en France) Nicolas Berggruen.

Dans une brochure de l’Institut Berggruen Song Bing relevait les harmoniques qui lui semblaient exister entre la notion de symbiose en biologie, celle de gongsheng déjà présente dans le Tao-Te-King ou chez Confucius, celle de kyosai plus récemment au Japon, et le convivialisme. De celui-ci elle retenait notamment le sous-titre du premier manifeste convivialiste : « Déclaration d’interdépendance ».

Dans un livre paru en janvier 2024, elle rassemblait une quinzaine de contributions d’auteurs chinois, japonais, allemand (Frank Adloff) et français (moi).

Le 29 et 30 mars 2024 elle réunissait à l’université de Tokyo certains de ces auteurs, et d’autres.

Le texte qu’on va lire est celui qui m’a servi à préparer mon intervention lors de cette rencontre, et que j’ai légèrement complété suite à celle-ci.

Par-delà la diversité des cultures, est-il possible d’assurer une convergence sur quelques idées et valeurs fondamentales ? L’enjeu n’est pas mince. 



https://convivialisme.org/wp-content/uploads/2024/04/Convivialisme-et-traditions-de-pensee-asiatiques.pdf


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